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Bio: ’indice parisien a avancé de 1,82 % ce vendredi et de 1,18 % sur la semaine. Les investisseurs espèrent une intervention des banques centrales.

Le marché prend de la hauteur vendredi sur des spéculations d’interventions des banques centrales. Mais la barrière graphique des 3120 points freine les intiatives.

A 15h15 vendredi, l’indice CAC 40 s’affiche en hausse de 1,34% à 3073 points. Les opérateurs se préparent aux élections législatives grecques dimanche. Ils parient sur l’intervention des banques centrales lundi, au cas où les parties en faveur des mesures d’austérité n’obtiendraient pas la majorité au parlement ce qui aurait pour effet de provoquer une tempête sur les marchés financiers. La Banque du Japon a indiqué ce matin qu’elle ferait le maximum pour assurer la stabilité de son système bancaire en cas de sortie de la Grèce de la zone euro. Même son de cloche en Europe, où la BCE se dit prête à soutenir le système bancaire. Au Royaume-Uni, la Banque d’Angleterre et le gouvernement britannique ont annoncé hier soir l’injection de plus de 100 milliards de livres sur le marché pour relancer le crédit. Enfin, aux Etats-Unis, les signes de ralentissement de l’économie se multiplient ce qui pourrait inciter la FED à faire un nouveau geste lors de la réunion de son conseil les 19 et 20 juin.

Du point de vue de l’analyse technique, la tendance reste délicate à court terme. En intraday, l’embellie du jour a été freinée à proximité de la zone des 3100-3120 points. C’est cette résistance qui fait désormais office de pivot de la tendance à court terme. Au-dessus, la tendance redeviendrait positive, et la route vers les 3290 points serait toute tracée, avec à la clé un potentiel de hausse de plus de 5%. A l’inverse, en dessous de 2990 points, le marché serait précipité sur les plus bas de juin à 2920 points. En dessous, on viserait les plus bas de novembre à 2790 points. A moyen terme, la tendance de fond reste baissière en dessous de 3290 points.

Résistances: 3120 - 3290 points

Support: 2990 - 2920 - 2790 points

Le sentiment de notre analyste technique: baissier à court terme, et baissier à moyen terme.

La Bourse de Paris a retrouvé de belle couleur ce vendredi, portée par l’espoir d’un soutien des grandes banques centrales en en cas de turbulences sur les marchés après le vote grec de dimanche. Le CAC 40 a avancé de 1,82 % pour finir la séance à 3087,62 points. Ailleurs en Europe, Londres a grimpé de 0,22 % et Francfort de 1,48 %. Et à Wall Street le Dow Jones avançait de 0,46 % et le Nasdaq de 0,50 %. Sur l’ensemble de cette semaine marquée essentiellement par l’attente de ce scrutin, le CAC avance modestement de 1,18 %.

La tension reste toutefois très vive sur les marchés financiers. En Espagne le vaste plan de sauvetage des banques, dont les contours restent à définir, n’a pas réussi à calmer les marchés et le rendement des obligations espagnoles à 10 ans naviguent toujours à près de 7 %, un niveau historique, tandis que ceux de l’Italie flirtent avec les 6 %.

Les banques ont d’ailleurs connu une nouvelle séance sous haute tension. Elles sont finalement reparties à la hausse, soutenues par la perspective d’un coup de pouce des banques centrales et des achats à bon compte. Société générale a ainsi grimpé de 5,02 %, BNP Paribas de 4,26 % et Crédit agricole de 6,28 %. Sur l’ensemble de la semaine, les titres des grandes banques françaises affichent des gains compris entre 1,5 % et 4,2 %.

L’aggravation de la crise en Europe fait peser une lourde menace sur la croissance mondiale. Les signaux d’essoufflement se font d’ailleurs de plus en plus tangibles, notamment aux États-Unis. Les ventes de détail, indicateur clé de la consommation américaine ont encore reculé en mai et le marché du travail a envoyé de nouveaux signes de faiblesse. Un contexte qui pèse lourdement sur les valeurs les plus sensibles à la conjoncture. La plus lourde chute du CAC 40 sur ces cinq derniers jours de Bourse revient ainsi à Renault, valeur cyclique par excellence, qui affiche une perte de 7,32 % sur la semaine. Suivent Peugeot (-6,54 %), Vallourec (-5,78 %), EADS (-3,16 %) et Schneider (-2,83 %).

La plus forte hausse du CAC 40 sur la semaine revient toutefois à une valeur réputée hautement cyclique: Lafarge. Le titre s’est adjugé 7,65 % en cinq jours après l’annonce d’un plan de redressement d’économies drastique.
Valeurs à suivre

Carrefour (+5,92 % à 14,49 euros)

Le distributeur a annoncé hier soir le rachat par sa filiale argentine de 129 magasins de l’enseigne discount Eki, une opération qui lui permet de renforcer sa position sur un marché en forte croissance.

Veolia Environnement (+ 4,75 % à 9,98 euros)

Le programme de cessions du groupe pourrait commencer à porter ses fruits d’ici à la fin de l’été, écrit vendredi le Wall Street Journal. Selon le quotidien, qui cite des sources proches du dossier, trois consortiums se sont porté candidats au rachat des activités du groupe dans l’eau régulée au Royaume-Uni, un accord étant attendu en juillet.

L’Oréal (-1,28 % à 91,04 euros)

Le numéro un mondial des cosmétiques entend poursuivre et développer son programme mondial d’«achats solidaires» lancé il y a deux ans, et y consacrer une part plus importante de ses achats.

Technip (+4,5 % à 78,80 euros)

Le groupe d’ingénierie pétrolière a émis pour 325 millions d’euros d’obligations, souscrites par trois investisseurs différents.

CNP Assurances (+2,36 % à 8,63 euros)

Dans un entretien publié ce vendredi par Les Echos, le directeur général du groupe, Gilles Benoist, assure que CNP est bien capitalisé, réfutant les propos tenus mardi par le président de la commission de surveillance de la Caisse des dépôts, qui contrôle 40 % du capital.

Tout un symbole, le London Metal Exchange va être racheté par l’une des plus importantes bourses d’Asie.

Tout un symbole. La Bourse de Hongkong va racheter le London Metal Exchange (LME), la première Bourse de métaux au monde, pour 1,4 milliard de livres (1,7 milliard d’euros). Pour financer cette acquisition, qui doit encore obtenir l’aval des actionnaires du LME, l’opérateur hongkongais devrait puiser dans sa trésorerie et emprunter 1,1 milliard de livres.

L’opération permettra à la Bourse de Hongkong (HKEx), l’une des plus importantes d’Asie, d’occuper une place prépondérante dans les échanges des matières premières. Elle rapprochera aussi la plate-forme londonienne de l’Asie et plus particulièrement de la Chine, le principal acheteur mondial de métaux. L’empire du Milieu représente d’ailleurs plus de 40 % de la demande mondiale de cuivre et d’aluminium. Et selon Bank of China, plus de la moitié du volume de métal échangé sur le LME est absorbé par des acheteurs chinois.

La Bourse des métaux de Londres était convoitée par d’autres opérateurs boursiers, dont l’américain InterContinental Exchange, également spécialisé dans les matières premières.
Offre la plus élevée

Malgré une économie solide, l’indice phare des valeurs allemandes affiche une évolution similaire à celle du CAC 40. La tendance reste délicate à court terme.

Malgré la bonne résistance de l’économie allemande, le Dax 30 l’indice phare de Francfort n’a pas résisté à la purge qui a touché l’ensemble des bourses européennes. Depuis son pic du mars derniers, il a ainsi perdu 14%, une baisse identique à celle du CAC 40 sur la même période. Au niveau des taux, les différences ont également tendance à se gommer. Le spread entre l’OAT et le bund à 10 ans a ainsi été divisé par deux depuis novembre 2011. La France profite indéniablement des achats se reportant vers les dettes les plus liquides, alors que la dette allemande offre désormais un faible rendement.

Mais derrière ces similarités ce cachent d’importantes divergences idéologiques entre la première puissance économique de la zone euro et la France. La chancelière allemande, Angela Merkel a redit son opposition farouche aux Euro-bonds. «Les réflexions sur la mutualisation de la dette sont peut-être dans l’intérêt de certains sur les marchés, mais elles mèneraient l’Allemagne à la médiocrité» a indiqué vendredi la chancelière dans un discours d’une rare virulence.

Des différences de point de vue qui pourraient se traduire dans l’avenir dans l’évolution des cours de bourse. Pour l’heure, le marché ne semble pas avoir tranché. A l’instar du CAC 40, le Dax 30 a enclenché un timide au rebond au début du mois de juin. Un mouvement qui a calé à 6290 points. En dessous de ce niveau, la tendance reste fragile, avec la perspective d’un retour rapide à 5915 points. En intraday, la tendance se dégraderait nettement en dessous de 6080 points. Pour déjouer ce scénario, le DAX 30 doit au plus vite se débarrasser des 6290 points. La route vers les 6460 points, voire vers les 6580 points serait alors toute tracée. A moyen terme, les cours évoluent depuis mars au sein d’un canal descendant. La borne haute de cette figure coïncide avec la zone de résistance des 6460-6580 points. En dessous, la tendance de fond reste baissière.

Résistances: 6290 - 6460 - 6580 points

Support: 6080 - 5915 - 10.000 points

Le sentiment de notre analyste technique: baissier à court terme, et baissier à moyen terme.

Mais c’est la place de Hong­kong qui a remis la meilleure offre, à un prix jugé élevé. Pourtant, il n’était pas écarté hier que les actionnaire du LME exigent un prix supérieur. «HKEx pourrait avoir une marge de manœuvre pour augmenter son offre», estime Sam Milton, analyste chez Keefe, Bruyette & Woods.

Créé il y a cent trente-cinq ans, le LME contrôle environ 80 % des échanges de métaux non ferreux dans le monde, du nickel au cuivre en passant par le zinc. Le montant des échanges s’élevait en 2011 à 61 milliards de dollars par jour, un record historique. Très attachée aux traditions, cette Bourse londonienne est l’une des dernières au monde à avoir encore des échanges à la criée.

La Bourse de New York aborde la séance en petite hausse, ce vendredi. Les marchés restent portés par l’espoir d’une action concertée des banques centrales au lendemain des élections grecques.

Les marchés d’actions américains ont ouvert en hausse, ce vendredi. Le Dow Jones avance de 0,48 % dans les premiers échanges et le Nasdaq de 0,22 %. Wall Street a terminé en nette hausse hier.

Aujourd’hui, la Bourse de New York reste portée par l’espoir d’une action concertée des grandes banques centrales de la planète. Ces dernières se tiendraient en effet prêtes à stabiliser les marchés si le résultat des élections législatives en Grèce dimanche déclenche une tempête.
Les responsables européens se déchirent

La faible demande sur l’émission du Trésor américain à 30 ans a induit des tensions sur les taux longs américains. Le taux d’intérêt à 10 ans finit en hausse de 4 points de base à 1,63 %.

La tension reste également très vive sur le marché de la dette publique européenne. Le taux des obligations espagnoles à 10 ans ont grimpé hier à près de 7 %, à un nouveau record depuis la création de la zone euro et ceux de l’Italie ont dépassé les 6 %. A quelques jours d’un scrutin crucial pour l’avenir de la Grèce au sein de la zone euro, les responsables européens, et notamment la France et l’Allemagne, se déchirent sur les solutions à mettre en place pour tenter de s’extraire de la crise.

A noter sur le plan macroéconomique, la production industrielle des États-Unis s’est légèrement repliée en mai (-0,1 %), avec une diminution de l’activité manufacturière, selon des chiffres publiés par la banque centrale (Fed) vendredi. Dans la région de New York l’indice de l’activité de l’industrie manufacturière a chuté en juin, à 2,3 contre 17,1 le mois précédent, a indiqué vendredi l’antenne régionale de la banque centrale (Fed).

Sur le marché des changes, l’euro se stabilise face au billet vert, à 1,2620 dollar. Les cours du pétrole grimpent légèrement en milieu de journée: le baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en juillet gagnait 0,17 % à 84,51 dollars. Le baril de Brent de la mer du Nord à même échéance s’appréciait de 0,85 % à 97,79 dollars.
Les valeurs à suivre

Du coté des valeurs, Microsoft (+1,16 % à 29,68 dollars) serait sur le point de racheter le réseau social à destination des entreprises Yammer pour quelque 1 milliard de dollars, selon le Wall Street Journal.

Facebook (+1,87 % à 28,82 dollars) devrait déposer une requête visant à réunir toutes les actions en justice intentées par des actionnaires contre le réseau communautaire, qui profitera de cette démarche juridique pour mettre en lumière le rôle du Nasdaq dans les ratés de son introduction en Bourse, rapporte le New York Times.

Human Genome Sciences (+1,79 % à 13,34 dollars) a annoncé avoir fixé au 16 juillet la date pour le dépôt des offres de la société de biotechnologies américaine, qui a invité GlaxoSmithKline à participer au processus d’enchère. Le géant pharmaceutique a lancé une offre hostile de 2,6 milliards d’euros sur Human Genome. La direction de la biotech a jugé inadéquat le prix de 13 dollars par action proposé par le groupe britannique.


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